Healing Misogi
Kezako un healing misogi ?
C’est un soin spirituel, un temps pour prendre Soin de l’Être, contribuer à incarner le Vivant en nous, se retrouver au cœur de soi, se libérer des schémas de pensées limitantes, s’accueillir tel que l’on Est.
Voici comment se déroule la séance et ce qu’elle te propose de vivre :
- un misogi dans la lumière de kototama (chant des mots-âmes), et l’utilisation de gong et bols. Le misogi est une invitation à nous replacer dans des espaces intérieurs avant l’apparition des pensées où celles-ci et les émotions pourront être perçues et accueillies depuis l’espace de silence et d’amour.
Être Un, en unité avec l’univers, le percevoir, tout en étant soi.
Unissez-vous au ciel et à la terre ;
Dressez-vous au centre
Votre cœur à l’écoute
De l’écho de la montagne.
Soleil, terre et lune en parfaite harmonie
- de la somato-psychopédagogie.
La séance de somato-psychopédagogie ici est proposée dans une intention de découvrir en soi de nouveaux espaces, des espaces vierges nouveaux, pleins, mouvants, rond, doux, chaleureux, ou la Vie va prendre corps, libérer, réanimer, comme une renaissance, un accouchement à soi. Elle se déroule en silence.
- un temps de partage, où les mots que vous exprimerez vont faciliter l’intégration de ce qui a été vécu pour que celui-ci puisse prendre corps.
Ces séances de « healing misogi » ont une intention spirituelle, elles contribuent à retrouver, à renforcer le lien avec ta profondeur, avec ton essence, ton réalignement à ton élan de Vie et à l’incarner dans le quotidien.
Elles ne se substituent pas aux séances de fasciathérapie dont tu trouveras les champs d’application ici https://laurentcaigneaux.fr/fasciatherapie/
Les séances de fasciathérapie concernent les demandes physiques (ostéo articulaires, musculaires diverses et variées), émotionnelles, relationnelles, psychiques, de mal être divers.
Dans la joie de t’offrir ces rencontres avec toi même.
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Voici quelques mots sur la fasciathérapie et somato-psychopédagogie de ce qu’elle peut représenter en tant qu’outil de libération et d’éveil à la pleine présence.
« Le réseau multifibrillaire appelé « fascia » est garant de notre forme humaine, de la forme de notre corps, de notre visage, de nos volumes organiques et notre équilibre global.
Cette forme pourtant souvent nous enferme, nous cloisonne, nous limite, nous met sous contrainte (fatigue, douleurs, maladie, mal-être). Cette forme contient notre histoire depuis la phase embryologique voir même dès la phase d’implantation. C’est ce qui permet d’avoir de l’information lorsque l’on mobilise les tissus en thérapie manuelle. On rentre en relation avec ce champ informationnel.
Le « travail sur soi » Est-ce que ce n’est pas finalement se libérer d’une forme qui n’est pas nous, qui serait enfermante, programmée et donc cristallisée dans ce réseau constitutif ?
Reconquérir un territoire corporel et psychique pour devenir plein de nous-même et non d’une histoire, soit de l’ombre de nous même.
Le réseau fibrillaire a une influence sur le cytosquelette au sein de la cellule. Nous avons donc potentiellement la possibilité de « corriger » l’information jusque dans la cellule, via ce réseau.
En rejoignant la dynamique intelligente du fascia de manière incarnée, vécu, sue, l’être peut progressivement intégrer sa forme réelle. Le corps de lumière de l’Homme est son corps réel et est supporté par le réseau fibrillaire, tissus constitutif qui fait le pont avec les systèmes nerveux et liquidiens, pont entre le visible et l’invisible. Quand un être humain retrouve son vrai visage après que le fascia eu été libéré de sa contrainte, donc du poids de son histoire (via système nerveux), il retrouve en réalité sa forme réelle: forme adaptative, dynamique et en mouvement créatif perpétuel. » texte écrit par une collègue de formation, Emilie Labourdette qui a parfaitement mis en mots ce que je perçois lors de certaines séances.
« La libération des fascias permet la libération des mémoires cellulaires ou trauma. Le fascia est la matrice, un pont entre le visible et l’invisible, entre la matière et le subtil. Il est le réceptacle d’une onde vibratoire à travers lequel le sans forme prend forme. » Ça c’est de moi, 😉
LAURENT CAIGNEAUX 